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Non, oublions!

Voix ambiguë d'un cœur qui au zéphyr préfère les jattes de kiwis.
Ce fût, c'est et ce sera rude. Mettons les pieds dans les grands plats, et ça ira, comme ça.

DUR(E) LES MOMENTS DOUX.

Je suis sure qu'on va aimer tout ça. Allez.

Les DÉFERLANTES, à Argelès. Encore pire que l'an passé. Débordant d'énergie, de folie. Totalement puissant, bandant, bougeant, excitant!

ARE YOU READY TO GO TO HOLIDAYS?
YES, I'M READY!

JE CROIS EN PLUS RIEN.
J'ME DORE LE PRÉSERVATIF!
(C'est pas ça qu'on dit?)

Merci. Parce que. Je veux. Être la. Non. Parfaite. Secrétaire. Vous, euh. Vous savez? Et. J'ai tenu. Oui. Ça y est. Est, oui. J'ai réussi. Ça marche. Vous, vous allez. Pas le croire. Vous y croirai. Pas. Mais, si. Si, j'ai tenu. Et je. Je vais tenir long. Un long temps. Longtemps. Ça. Ça sera beau. Magnifique. Sublime, même. Et je. Je ne savais. Pas. Je ne savais pas. Pas que je pourrais. Pouvoir le faire. Mais. Mais je peux. Alors je le fais. Et je tiens. *tortille tes cheveux* *soupir de soulagement* *sourire furtif et niais* *regard livide, rempli d'espoir aussi livide que le regard* *reprend son souffle* Voilà. Je tenais. Juste, a vous. Vous le dire. Et voilà. C'est. C'est dit.

LA PETITE AVERSE DE PLUIE EN ÉTÉ, C'EST COMME LE RAYON DE SOLEIL EN HIVER. FAUT SORTIR ALLER LA VOIR. MÊME SI ON FINIT TREMPE COMME UN CHIEN SORTANT D'UN LAC. PUIS ÇA DÉFOULE D'IMPROVISER DESSOUS, DE FAIRE LA CON, JUSTE PARCE QUE T'ES SEULE ET QUE TOUTES CES GOUTTES-CI NE SONT PAS DES LARMES, TU SAIS, JUSTE L'URINE DE CET ÊTRE DU CIEL. C'EST BON TOUT ÇA! (Faut juste pas trop ouvrir la gueule)

Somewhere over the rainbow.

Do you think we can do that thing that we do sometimes?
Yes, we can.



Why are you like this?
Like how?
Like how you are.
How am i? How am i?



Les films sont drôles.

Well, it's been a long time, long time now. Since i've seen you smile. And i'll gamble away my fright. And i'll gamble away my time.And in a year, a year or so.This will slip into the sea. Well, it's a long time, long time now. Since i've seen you smile. Nobody raise your voice. Just another night in Nantes. We saw... "Non, laisse moi! Mais qu'est-ce que tu as aujourd'hui? J'ai que les hommes me dégoutent, vous pensez qu'à ça".

BACK TO CAMPAIGN. WAS SO FINE!

Je crois que quiconque peut le confirmer:

"On a qu'une vie", c'est bien cela?

CREVETTE, J'VAIS TE COUPER LA TÊTE.
Je divague. Et ça me fait (pas) rire.

21.06
Quelles sont les origines de mon mal?

C'LA FÊTE A LA GRENOUILLE.

QU'ON NOUS SOUILLE!

18.06

DANSE.
ENFILE UN VIEUX SHORT.
ENFILE UN HAUT.
QUITTE LE HAUT.
SONGE.
METS LE SON A MAX.
ENCULE LES VOISINS.

Dis Elvis. :)

HUMEUR DU JOUR: PRENDRE SON PIED; NE PAS SE PRENDRE LA TÊTE; SE VIDER A JAMAIS.
SOYONS SAGES. POUR UNE FOIS.

GET UP! STAND UP! COME ON PUT YOUR HANDS UP!
IT'S THE END. AND EVERYTHING WILL NEVER BE THE SAME.
CAN YOU FEEL THIS?
OH I FEEL. AND I WANT MORE!
PUT YOUR HANDS IN THE AIR!
(AND SAY WITH ME "I FUCK YOU MEN!".)

TU RESSENS LA VIBE?
Elle est montée en moi. Carrément en accéléré. J'ai pas eu le temps de m'arrêter. Tu sais, quand tu sens en toi que ça monte, que ça sors et qu'au fond, c'est si bon! Parce que ça l'était. Ça fusait de tous les cotés, ça bougeait, mouvait, fusionnait et même ça prenait son pied. Des gens partout, des danses partout, des trucs partout, de l'urine partout et de tout partout. Et puis, le vide. La musique en toi, dans tes cotes, les basses et batteries. M'enfin. Ça se termine si vite que t'as même pas le temps de crier "Foutez le camp!" à tout cela. Trop vite, trop bon. Ce fut comme du milk-shake. Mais en taille XXL alors. (Et à la banane)

BIENTÔT FINI.

GROS CHANGEMENT A PRÉVOIR.

OH, ET J'ME PRENDS LA FACE ENTRE LES MAINS.

JE PENSE.

A TOUT.

MINCE!

I WILL BE SUCH YOU WON'T RECOGNIZE ME. I WILL BE SO THIN AS YOU'LL BE HORRIFIED. I WILL BE SO STRONG AS YOU'LL SUFFER FROM IT. I WILL BE SO FRAGILE AS YOU'LL BREAK ME.
LIFE IS A WAVE. SHE TAKES YOU AND THROWS YOU OVER.

J'évolue. Je ne sais pas ce que ça peut bien être d'autre sinon. Et je sautille en apportant le dossier de passage en 1° à ma mère. Elle a le regard dur, ma mère. Elle ne sourit pas, ou alors elle ne me le montre pas. Je sautille un peu plus fort, fais travailler mes muscles, mens un peu sur ma forme et souris à m'en fissurer les joues. Elle s'y met à son tour et dit tout bas ce qu'elle plus fort que tout. Elle dit alors qu'il y a trop de papiers à remplir.

Même la souris me sourit. Mais au fond, qu'est-ce qu'un sourire? C'est simplement un sous rire. Une sorte de sous-vêtement du rire. Ça empêche de rire, ça remplace le rire. C'est un petit geste poli et simplet. Voilà ce que c'est.

Tout est partit comme ça. Vous savez, des fois c'est plutôt simple la vie. Il suffit de l'arrêter en son cours et de lui dire en face : "Maintenant, tu arrête tes conneries, et tu me fais du bien, plutôt que de faire la gueule comme ça!". Et je crois que c'est en train de fonctionner. Quand on se dit que tout va bien, quand on leur dit que tout va bien, quand on se le répète et bien, à force, tout va bien. Et peut-être est-ce un mensonge, mais à quoi se poser la question? Non, on sourit, on joue, on fait des plans, des rêves et on en voit certains s'exaucer. On espère que les autres suivront. En fait, c'est tout simple la vie. C'est même plus simple qu'un gâteau. Parce qu'un gâteau, on doit suivre des règles tout le temps. Alors que des fois, on peut s'évader et inventer notre propre recette. Et ça, ça donne du charme et un goût nouveau. Pourquoi vouloir absolument rentrer dans le cube? J'y rentre pas, de toute façon. Et quand j'y rentre, ça me râpe la peau. Alors j'ai décidé de refaire à ma façon. Parce que ça marche. Je marche. Elle marche. Et tous nous marchons en rythme.
Allons mettre toute cette musique à fond. Qu'elle résonne dans nos entrailles et remue notre foie de façon à ce qu'il représente un demi-croisant, un presque sourire. Et que notre corps n'en puisse plus de remuer. Qu'il bouge, bouge, bouge... Si loin et si vite qu'on a même pas le temps de se dire "Je bouge?".

DÉCONNEXION.

MARCHE DROIT.

TOMBE PAS.

SUIS LE FIL.

SUIS LE MOUVEMENT.

SUIS TON ESPRIT.

SUIS BÊTE!

Ça bouge, ça fuit, ça mixe, ça remixe, et ça repart!
Ça enchaîne, ça déchaîne, ça pète les chaînes et ça met en haine?
C'est le nouveau, c'est le tout beau, c'est le très chaud et c'est tout faux?
C'est du caca, c'est le tralala, c'est la guérilla là-bas et patati et patata!

TROP DUR DE TENIR. TROP TROP TROP TROP TROP DUR. JE CÈDE. CÈDE CÈDE ET RE-CÈDE. J'AI PLUS DE TEMPS. IL GLISSE DES MAINS. ON DIRAIT DE L'EAU. IL ME FUIT. VOUS FUYEZ. JE FUIS. OUI, JE FUIS ME CACHER. PARTEZ A L'OPPOSE. PARTEZ!

RE-MA.

Je crois que je suis percée. En dedans. Tu sais, comme si on fendait le centre d'une tomate et que son jus restait en elle, et qu'il y pourrissait. C'est ça. Je saigne du pus. Je ne suis que pus. Je suis du pourri. Je vis pourri. J'ai un caractère pourri. Tout va bien, en ensemble. Tout va bien ensemble. Je suis en sang bleu. Mon sang est bleu, je sens le roquefort et je m'évanouie dans l'inconfort. Subitement, je ne veux plus rien/personne. Tous y compris.

Avais foiré.

Ai foiré.

Vais foiré.

Me torturais.

Me torture.

Me torturerai.

Se sentais mal.

Se sens mal.

Se sentira mal.

Pensais à ça.

Pense à ça.

Pensera à ça.

Volais.

Vole plus.

S'écrasera.

Afin d'éviter toutes surprises malvenues :

tout étiqueter, ficher tout, tout classer et tout connaître.

ONE HUNDRED AND FIFTY.

HOURRA ?

CAN IT JUST BE POSSIBLE, FOR ONE TIME ?

Remue tes cheveux et passe le balai. C'est facile, tu verras. Dégomme la poussière comme si tu dégommais ta haine. (Dans ce cas, je vais m'y donner avec joie. Qui aurait pu croire que la poussière deviendrait mon amie ?)

1. HAVE FORGOTTEN HOW IT WAS.
2. HAVE FORGOTTEN HOW I FELT.
3. HAVE FORGOTTEN HOW I HAVE CHANGED.
4. HAVE FORGOTTEN HOW I CAN DO.
5. HAVE FORGOTTEN TO BEAT ME.
6. OR TO NOT BEAT ME.
7. HAVE FORGOTTEN TO SAY HELP.
8. HAVE FORGOTTEN TO FORGET.

J'ai oublié de dire quelque chose : JE L'AIME. Et ça sera bien assez. Étant donné tout ce que nous avons parcouru, mètres après mètres, saut après saut, évènements après évènements, école après collège, collées après séparées, rires après rires, bouffes après boissons, je ne saurais dire autre chose. A vrai dire, elle fait comme partie de moi. Même si c'est une vieille chouette empaillée qui ne fait rien faire de ses doigts et qui est menteuse, on s'y fait.
Mais ne commencez pas à aller vers elle, vous seriez de suite pris d'un éperdu amour fou que vous ne pourriez arrêter. J'en suis victime. Ça fait mal tellement c'est profond.

C'EST FAIT. ON NE PEUT PLUS RIEN Y CHANGER.
C'est tout cassé, tout bisé, tout fondu à l'intérieur. Comme une chocolatine mise trop longtemps à fondre dans le micro-onde. Comme lorsque tout est brûlant de douleur, brûlant de chaleur, brûlant de froideur. Ça vous tortille le cœur, vous remue les désirs, vous fait perdre le sens de tout, et même le sens lui-même. Alors, oui, on peut rien y changer. Je peux rien y changer. J'ai fait de la merde, je l'assume. Je suis une merde, je l'assume aussi. J'ai vu des choses grandir, emplir en moi, et je n'ai rien changé. C'est donc cela le soucis : je ne suis que le témoin de ma vie. Comme une ancienne chanson-là, dont je ne me rappelle ni titre, ni auteur. "Le tourbillon d'la vie ... Lalala".

COME ON AND FORGET. IS IT SO DIFFICULT ? WELL, I THINK I'LL BE GOOD AT IT. ANYWAY, I HOPE. AND I HOPE IT IS ENOUGH.

WELL, YOU LOOK LIKE FUCKING HAVING A GOOD TIME.
SO ANYWAY, CONTINUE IT. YOU'RE SO GOOD AT IT.
WELL DONE !

J'ai joué. J'ai rigolé. J'ai aimé. J'ai tout fait. Mais maintenant, j'en veux plus de tout ça. Alors, stoppons net. Je vais trouver cette solution, et hop. Ça va secouer, basculer, swinguer. Mais ça av changer. Vous allez avoir un piquement dans les yeux tellement ça va se faire. Comme une stupide allergie. Comme une lentille mal mise. Comme une débile larme qui fait sa rebelle et veut sortir. Vous allez le sentir. Essuyer vos cils, prenez vos sourcils dans vos bras et tirez vos paupières. Échauffez les. Puis mijotez le tout à feu doux, jusqu'à ce que vous soyez habitués. C'est facile. Vous verrez, on se fait à tout. Alors, je vais m'y faire, il le faut. Je vais sortir ma pince à épiler et me déchirer la pupille. Oublions. Dans le noir, c'est plus flippant.

Oula, mais ça congite là-dedans.

Allez, sors ta carte.

Get out.