Parce que je crois que tout ça passe loin dessous mon contrôle. Parce que je crois que mes sentiments passent aussi loin dessous mon contrôle. Parce que je crois que je suis trop nulle pour comprendre tout ce qui passe loin dessous mon contrôle. Parce que je crois que mes pensées ne valent plus rien. Parce que je crois que croire c'est pour les nuls, que croire c'est juste une façon d'espérer et de ne pas affronter la vérité en face. Parce que je crois que je crache à la face de c'te vérité. Parce que je crois qu'après tout on a tous le droit de rien savoir. Même si si au fond on le sait bien. Même si au fond on sait qu'on est bien trop nul pour croire, pour savoir que ça nous arrivera un jour. Et à la fin, ça nous arrive pas et on sait qu'en fait on n'y a jamais cru. Et on sait qu'on l'a toujours su. Parce que je crois que je sais ce qui va arriver. Et je sais ce que je crois.
lundi 22 février 2010
Ça y est. Ça y est, le trou énorme s'est un peu re-rempli. Ce trou comme creusé à la grosse pelle, avec des gros bras tout musclé et tout dur, avec une grosse force et cruauté. Ce trou que le manque fait, là. Ce trou bizarre qui fait un peu mal tellement il est gros. Alors, souvent, quelques minutes servent à rattraper le temps perdu. Mais ça recommence vite. A croire que cette pelle ne se lasse jamais. A croire que ces bras n'ont jamais de crampes. A croire que la cruauté du manque est toujours plus cruel. Mais, on va les combattre tous, cette pelle, ces bras, cette cruauté et tout le reste.
Mais, tout me manque. Tout, même ce qu'on ne pense pas. Du style, cette fleur du jardin de l'année dernière et qui veut pas repousser, elle me manque. Et ces choses insignifiantes auxquelles on s'attache, elles me manquent aussi.
En fait, je-tu-il-elle-nous-vous-ils me manque(nt). Et ça commence a faire beaucoup, a force.
(Oh ohw, you know you love; i know you care; you shout whenever; and i'll be there; you're my love; you are my heart; and we will never ever (ever) be appart)
vendredi 19 février 2010
mercredi 17 février 2010
Tout tombe. Mes doigts se brisent, ils retiennent plus rien. Ça prend un nouveau chemin. "Toutes directions". Ça m'emmènera peut-être là ou je veux aller. Sûrement. Je vais terminer très loin. La où la route rejoint l'horizon. La où tout est clair et net. La où rien n'a de sens. La où tout est oublié.
mardi 16 février 2010
lundi 15 février 2010
LE SOLEIL EST PARTI. TANT PIS. ADIEU. A JAMAIS. ET AU REVOIR.
POURQUOI EST-CE QUE J'AIME CELA AUTANT ? QUELLE SORTE DE MAGIE EST-CE ? OH, MAIS COMME J'ADORE CETTE SENSATION ! JE VAIS ALLER MARCHER DANS L'AIR. SUR L'AIR, ET ME CACHER DESSOUS. ET SI CETTE SENSATION REVIENT, NE LA LAISSE PAS GRANDIR EN MOI. ET NE LA LAISSE PAS SE MONTRER. SI ELLE REVIENT, ET ELLE VA REVENIR, GARDE LA POUR MOI ET CACHE LA DU MONDE ENTIER. CERTAINS POURRAIT EN ÊTRE JALOUX ET LA VOLER. JE NE L'AIME PAS, MAIS JE VEUX LA GARDER. C'EST MON TRÉSOR. MON SECRET. MON PETIT BIJOUX. EN FAIT, C'EST MON COLLIER DE RUBIS. VOILA. MAIS MAINTENANT, C'EST TROP TARD. LE TEMPS NE CHANGE JAMAIS. ET TOUT CELA N'A PAS DE SENS POUR MOI.
Je tiens a dire : S'il te plaît, aime-moi. Aime-moi avant que je ne meure. Fais-moi au moins ce privilège. Une fois. Et que cette fois soit la plus belle chose du monde. Oh, j'en rêve nuits et jours. Bientôt, j'en rêverais même entre la nuit et le jour, tellement ca me hante. Je crois que je tombe . Et dans quoi ? Dans la nullité. C'est pas bien de s'affaler. Oh non. Je vais m'approcher de la poubelle, et couper les bras de cette nullité pour qu'elle arrête de s'affaler elle aussi sur moi. Il serait tant. Bel et bien.
Je vais retomber dans mon sommeil. Fatigue, lâche-moi, bon sang !
POURQUOI EST-CE QUE J'AIME CELA AUTANT ? QUELLE SORTE DE MAGIE EST-CE ? OH, MAIS COMME J'ADORE CETTE SENSATION ! JE VAIS ALLER MARCHER DANS L'AIR. SUR L'AIR, ET ME CACHER DESSOUS. ET SI CETTE SENSATION REVIENT, NE LA LAISSE PAS GRANDIR EN MOI. ET NE LA LAISSE PAS SE MONTRER. SI ELLE REVIENT, ET ELLE VA REVENIR, GARDE LA POUR MOI ET CACHE LA DU MONDE ENTIER. CERTAINS POURRAIT EN ÊTRE JALOUX ET LA VOLER. JE NE L'AIME PAS, MAIS JE VEUX LA GARDER. C'EST MON TRÉSOR. MON SECRET. MON PETIT BIJOUX. EN FAIT, C'EST MON COLLIER DE RUBIS. VOILA. MAIS MAINTENANT, C'EST TROP TARD. LE TEMPS NE CHANGE JAMAIS. ET TOUT CELA N'A PAS DE SENS POUR MOI.
Je tiens a dire : S'il te plaît, aime-moi. Aime-moi avant que je ne meure. Fais-moi au moins ce privilège. Une fois. Et que cette fois soit la plus belle chose du monde. Oh, j'en rêve nuits et jours. Bientôt, j'en rêverais même entre la nuit et le jour, tellement ca me hante. Je crois que je tombe . Et dans quoi ? Dans la nullité. C'est pas bien de s'affaler. Oh non. Je vais m'approcher de la poubelle, et couper les bras de cette nullité pour qu'elle arrête de s'affaler elle aussi sur moi. Il serait tant. Bel et bien.
Je vais retomber dans mon sommeil. Fatigue, lâche-moi, bon sang !
Oh, HAVE A NICE VALENTINE'S DAY, EVERYONE OF YOU. :)
(- Encore ? - Oui, et à jamais - Il faut croire que l'amour est recouvert de colle - Il faut croire)
(- Encore ? - Oui, et à jamais - Il faut croire que l'amour est recouvert de colle - Il faut croire)
dimanche 14 février 2010
lundi 8 février 2010
Comment puis-je leur dire ? Tout ce que je fais, c'est créer des emmerdes. Je fais que des problèmes. Je suis un problème. Plus ça y va, plus mon problème grossit, plus je suis un gros problème, et plus il faut de la place pour me cacher. La prochaine fois, j'essaierai d'une autre façon. C'est pas sur que ça marche. Mais, tout ce que je veux, c'est de montrer que je veux mieux. Que je veux ne plus causer aucun problème. Un jour, ils verront. Il faut bien que je l'espère, tiens. Je sais pas dans combien de temps. Je vais courir très loin pour ça. Je garderais tout ça en moi. Jusqu'à en exploser s'il le faut. Je vais tout garder et tout trier. J'en ai marre de me perdre dans mes pensées. Bien trop raz le cul.
Je vais sauter en l'air. Là, y'a trop de truc qui vont arriver. Je vais devoir skier devant l'avalanche, sinon c'est fini. Mais heureusement, avec mes gros bras, je la soulèverais cette avalanche et je passerais dessous. Peut-être je trouverai un passage secret ?
Je crois qu'il faut que j'arrête de rêver. Sur tous les points. Y'EN A MARRE.
samedi 6 février 2010
Je me sens fendue en deux.
Fendue en deux entre mes envies et mes possibilités. Et les deux sont tellement fortes qu'elles se battent en moi et me détruisent littéralement. Je suis fendue, une partie à gauche, une à droite. Je ne peux être partout, je ne peux faire les deux. Je me sens aussi trahie. Trahie par ces deux parties qui se foutent complètement de moi. Ce ne sont pas les seules, d'ailleurs, mais elles, je ne leur pardonne pas. Elles ne peuvent pas me laisser tomber et me jeter à la rue, comme à leurs habitudes. J'ai tant subi, je me sens si mal, qu'elles ne peuvent pas me faire ça. Ça parait tant inhumain que je m'en fends un peu plus. Alors je me venge. Je les déchire à leurs tours. Je tue mes envies, de force, de larmes et de douleur. Je les tue, parce qu'elles sont irréelles, elles ne sont que mes rêves immondes, mes foutus rêves qui me hantent et me désintègrent. Je tue mes possibilités. Je ne peux plus rien faire, et tant mieux. Je voulais rien faire. Je ne voulais rien. Ou plutôt je voulais tout mais tout est absolument inattrapable. Tout me file entre les doigts, comme une pièce. Comme de la fumée de cigarette, comme de la poussière. Mais comment font les gens ? Comment peuvent-ils continuer à faire leur vie quand tout va mal ? Je sens que je vais en arrêter là. Je vais arrêter tout cela. Je vais aller me jeter loin de tout cela, très loin. La ou personne, personne, n'osera me suivre. Malgré tout ce qu'on peut dire, je vais sauter le pas, tout sauter, et même sauter mes envies, mes putes de possibilités. Elles croyaient m'avoir. Elles me croyaient nulles. Elles me sous-estimaient. Je vais leur montrer. J'en suis capable. Réellement.
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