mercredi 31 mars 2010




C'est fascinant, court et puissant. J'aime ça.

Oh, et si, et si ce n'était pas des paroles en l'air ? Si pour une fois, tout partait réellement à nouveau ? Si le mécanisme était de nouveau lancé ? Oh, espoir.

mardi 30 mars 2010



Je cache tout. Je ressemble à une petite fouine. Ou plutôt plus un écureuil avec ses glands ou noisettes. Disons que la plupart du temps, c'est plus simple après.
BREF. J'attends beaucoup de choses. Vous les voulez ? Vous les aurez pas. Parce que moi aussi je les attends. Alors, pour vous faire compatir un peu, je vais vous montrez ce que ça fait que d'attendre. Enfin bon.



(J'aime trop de sites. Beaucoup de gens font des blogs trop top. C'est énervant, c'est trop long à tous les suivre. Mais, bordel, qu'est-ce qu'ils sont bons !)

jeudi 25 mars 2010




C'est avec la boule au ventre, la nausée qui remonte, les souliers tous sales, les yeux mouillées et le sourire froissé que j'entre là-dedans. Là, là où tout semble beau et parfait. Espérons que cet endroit restera beau et parfait, même à ma vue. Oh, j'aimerais vraiment.

Je vous embrasse, mon sourire vous soulève et vous remercie. Vous êtes si parfaits, bandes de nazes.

mercredi 17 mars 2010



And i sing : Sunshine, Oh, Sunshine, if you don't know why you shine, you've got to go into the sun, you've got to go inside.

When you're like cold inside, how do you do ?
And when you feel like everything around you is falling and crumbling away, how do you do ?
And when you are so stupid that you can't do anything right, how do you do ?
And when you can't speak about what you are feeling inside without crying, how do you do ?
And when you feel so bad that you can walk with ands, how do you do ?
And when you want to jump out of your life, like if it was only a game, but you just realize it wasn't one, how do you do ?

I always knew i would spend a lot of time alone ; no-one would understand me ; maybe i should go and live amongst the animals ; spend all my times amongst the animals.

lundi 15 mars 2010

Tout devient si incompréhensible. Tout est si dur. Tellement, que je deviens incomprise. Et puis dure. Je ne suis plus rien. Je suis perdue. Comme si ma le brouillard m'avait submergé à jamais. Et que, tout d'un coup, le tonnerre s'y mêlait. C'est si fort et intense, que je me perds dans mon incompréhension.



mercredi 10 mars 2010

LAISSEZ TOMBER. JE VIENS JUSTE DE ME FIANCER.
JE PARS EN VOYAGE DE NOCE.




Je ne cerne plus rien. Je deviens une non-cerneuse. J'ai des cernes et je vois plus rien. Je le vois plus, surtout. Peut-être je cherche à ne plus le voir. Lui, ce truc immonde que j'aime et qui m'en fend le coeur. Qui me fend tout court. Je me demande pour quoi d'ailleurs il ne me fend pas la cerne. Juste histoire que je le voie, que je le cerne et que je l'éclate. Il m'énerve. Et je m'énerve. Je ne suis qu'erreur. Je fais partie de la mauvaise partie. Oh, je fais partie de rien en fait. Je comprends bien. Je cerne bien quelques petites choses. Il le faut bien. Parce que j'en ai marre de rien savoir. Et que l'ignorance me va pas. Et vous savez quoi ? J'emmerde tout. C'est dit. Et je voudrais que tout ressente bon la rose ou l'ananas/kiwi. Mais ça sent le cramé. Et je déteste ça. Mais c'est pas grave, je pars dans des délires fous, mon esprit s'envole à 1000 à l'heure, mon coeur suit même plus même s'il s'accroche. Il va bientôt perdre une valviole et crever sur le chemin, le pauvre débile. Je peux plus continuer de penser à ça, de penser en boucle, de me répéter encore. Surtout que je ne comprends rien de ce que je pense. A croire que ces pensées aiment se foutrent de ma sale tronche. Et j'en ai marre qu'on se fiche de moi. SATURATION. Je vais aller sous terre et rencontrer un petit asticot qui voudra bien de moi.




Je m'égare. Et je crois aimer ça. Vous savez, quand vous sentez que vous atteignez un degrés de stupidité supérieur. Allez, bises.

dimanche 7 mars 2010


PARTIR PLUS LOIN. TOUJOURS. PENSER A RIEN D'AUTRE. ET "YIHAAA", TOUT OUBLIER.





Oh, juste. Je l'aime trop a fond celle-là. Et toutes nos idées vont exploser. Parce qu'après tout, on explose nous aussi.

mercredi 3 mars 2010


Alors, disons seulement que je me contente de vivre. Oh, et puis, laissons filer un peu. Y'en a marre de toujours attendre le moment où le fleuve devient mer et où la mer devient océan. Moi, je suis qu'un petit fleuve sans contours, sans détours. Il est sale, mon fleuve, il a pas de poissons dedans, et il me suffit. Il me suffit parce que je me dis que, bon, après tout, c'est déjà ça. Et même si tout va mal, si la sécheresse le fait être à sec ou si des voyous jettent des bouteilles dedans, je saurais quand même que c'est le mien et que peut importe ce qu'il arrive, j'aurais au moins ça. Et les autres, on leur jettera de l'eau sale a la face. C'est tout.
"Tends moi la main. Tu sais, juste une petit poignée. Ou plus. Mais je sais que tu voudras pas plus. Alors prends ma main. Et, je t'en prie, la lâche plus maintenant. Garde la et fais-en ce que tu veux, mais la lâche plus. A tout jamais. Comme si nous faisions qu'un. Comme si, nous deux, c'était à jamais."