vendredi 29 janvier 2010

I HAVE ONE QUESTION, EUH, CAN I LOVE YOU ?
ONE QUESTION, WHAT'S YOUR IMPRESSION ?
I'VE GOT TO MOVE LIKE EVRYTHING I'VE DONE IS FORGOTTEN. I JUST WANNA DANCE. AND IT'LL HAPPEN. FOR ONE TIME.
OH, I NEED SOMETHING TO FEEL BETTER ABOUT MYSELF. GIVE IT TO ME.

mercredi 27 janvier 2010


Aujourd'hui :
rire dès son arrivée ; compter les doigts de sa main ; se frotter à la cheminée ; sentir le froid monter en soi ; sauter sur place et se recoucher au chaud ; les regarder heureux, et continuer ; se recoiffer, tant bien que mal ; essayer de ne pas les blesser ; rester muette 3sec et reprendre sans pouvoir s'arrêter ; gesticuler comme un babouin et se stoper à son approche ; regarder au plus profonds de ses yeux ; se rajuster le pantalon ; descendre le tee-shirt ; se sentir plus invisible qu'un atome ; passer pour une idiote ; être une idiote ; se moquer de soi-même et recommencer ; gribouiller partout ; se couper les habits ; et les cheveux aussi ; se jeter à terre et s'asseoir sur un robinet ; se laisser dorée au soleil ; manger à en vomir et pleurer de douleur ; se tripoter les lèvres ; prendre des photos hilares avec une folle ; ressembler étrangement à un laideron ; se foutre des baffes ; être feignasse et délaisser l'activité physique ; boire un chocolat chaud en triturant la table ; remuer sa cuillère 3 fois et se brûler la langue ; se la mordre ensuite ; parler de choses inintéressantes et rire ; se comparer et faire la tronche ; sentir ses cheveux en la serrant dans ses bras ; ne pas comprendre ; être hors contexte et s'en foutre ; ou pas ; se tirer les cheveux et vouloir rayer toute les voitures avec un arc-en-ciel ; vouloir taper des gens ; s'en vouloir ensuite et se taper soi-même ; appuyer sur son portable ; casser les idées ; aller aux toilettes 3 fois et refermer sa ceinture tant bien que mal ; tripoter sa graisse et souffler ; penser aux autres ; penser a tout le futur devant soi comme une carte GPS ; oublier tout ; le regarder et s'en vouloir ; rêver trop pour tomber trop ; écrire des choses sans queue ni tête sur sa journée et aller s'engouffrer un paquet de Petit Lu juste pour avoir la bouche pâteuse.

Disons seulement que ça va pas fort. Et ça suffira. Mais, pourquoi tout cela s'écroule ? Pourquoi tout cela part en ruine ? Pourquoi tout cela se fend, se brise et s'émiette ? Comme si tous mes actes n'étaient que des châteaux de cartes. Comme si tout, tout autour de moi, était emporté au loin avec le vent. Comme si je ne servais strictement à rien. Comme si ou comme ça. Et je n'aime vraiment pas ça. Alors disons maintenant que je me questionne sur pourquoi tant de détresse et puis aussi comment sortir de tant de détresse. Disons aussi que je cherche les réponses avec attention, mais qu'elles sont bien cachées et enfouies, ces malignes. Je compte bien tout retourner, tout chambouler pour les trouver, et trouver, en même temps, autre chose. Autre chose qui ressemblera bizarrement à du soulagement mêlé au bonheur. Quelque chose de beau, en somme. De contraire à toute réalité, à tous sentiments. C'est pour très bientôt, je l'espère. Et j'espère tout diffuser autour de moi. Je ne veux plus que des rires. J'espère que tout le monde a compris. Je veux voir des sourires. Je veux entendre des sourires à mes cotés et sentir des bouches frôlées mes joues. Est-ce possible ?

dimanche 24 janvier 2010


All i see is what's in front of me, and that's you. You're always near me, just like my shadow. And baby i can see you've seen this fuck too. Just, don't lie to me. It will be like a damn to me. And people will say all kind of things, but they don't know me, they don't how i really am. I'm afraid of this all kind of things. I don't show it, that's all i can do for this time. I think i'm not scared of love. I'm only scared of you.
Well, i may be just a fool. But i know you're just as cool. And, you know, cool kids belong together.



Je suis en pleine réflection. En plein essai de restructuration. Alala. Mais, dis-moi, petite ombre, si tu me suivras. Me suivras-tu ? Je suis juste comme un gros oiseau noir dans une petite cage. J'ai les barreaux collés a ma face. J'ai les yeux qui débordent et l'envie qui explose. J'ai les jambes recourbées et les genoux emmitouflés. Je suis gonflée et enfermée. Sortons de là de suite. Tirons nous d'ici. Plus voir ça, ne plus rien voir. J'ai déjà tout vu. Ou du moins, j'en ai vu assez.


"Tom : What happen when you fall in love ?
Summer : You believe that ?
Tom : It's love, not Santa Claus."

samedi 23 janvier 2010


992 pas ; 1534 regards furtifs ; 2411 petits ronds ; 213 boucles ; 8672 soupirs ; 3 crises de nerfs ; 14 coups de pieds ; 647 voitures ; 351 passants ; 0 regards ; 1 personne invisible ; 47 lamentations ; 1 crise de pleurs ; 9 morceaux de vernis enlevés ; 4 appels à l'aide ; 29 coups ; 1 gros coup de froid ; 268 recoiffage ; 7 larmes séchées ; 4 gifles ; 1 incompréhension ; 14 chansons en boucle ; 1 voix de tafiole ; 0 aide ; 1 seule, toute seule.

A BAS LES SURPRISES. DE TOUTES LES SORTES.

vendredi 22 janvier 2010


WHAT THE FUCK AM I DOING ?
I'll speak later.
I'm too busy to explain my feelings.
Too busy to feel anything.
Too busy to be me.

jeudi 21 janvier 2010



I'M FALLING DOWN. AND FIFTY THOUSAND PEOPLE SCREAMED. THEY WERE NO PREPARED FOR MY DREAM. I'M FALLING DOWN. AND YOU'LL NEVER SEE MY THROUGHT. YOU WOULDN'T OPEN YOUR EYES FOR ME. I'M FALLING DOWN. AND YOU'LL NEVER HEAR ME SING. YOU WOULDN'T LET ME BEGIN. I'M FALLING DOWN. NOW MY WORLD IS UPSIDE DOWN. I'M HEADDING STRAIGHT FROM THE CLOUDS.
WATCH ME. CRUMBLE ME. JUGE ME. OH, MY FEARS ARE NEAR ME. CAN YOU FEEL IT ?

mercredi 13 janvier 2010




IF YOU STILL WANT ME, PLEASE FORGIVE ME.
MY PAIN IS BEHIND MY BED, I CAN'T SLEEP.
I'LL STOP WATCHING YOU. WHEN I'LL BE READY. IT CAN MAKE A LONG WHILE.

OH, FUCK MY PAIN AWAY.
"TO BE HONEST, I REALLY DON'T CARE."

samedi 9 janvier 2010



S'ÉGARE. PARS TROP LOIN. POUR OUBLIER TROP MAL. MAIS VA Y ARRIVER. IL LE FAUT BIEN. TOURNER UNE PAGE. C'EST SI DUR PARFOIS. VOUS SAVEZ, COMME SI LA PAGE ÉTAIT EN PLOMB. BREF. N'Y PENSE PLUS. VA RECHERCHER DE LA FORCE AILLEURS. IL LE FAUT BIEN, TIENS. RENAISSANCE, QUAND TU NOUS TIENS.

samedi 2 janvier 2010


Je ne l'aime pas. Non, c'est bien pire. Je le hais. Je le hais tellement, je le hais d'hanter mon esprit toute la journée, de ne me faire penser qu'à lui. Je le hais d'amour. C'est si intense que c'en ai absurde. Je vous en prie, enlevez moi cette haine. Mon Dieu, enlevez-le moi de l'esprit, étirez-le hors de moi doucement et purifiez-moi. Je ne veux plus de lui, de cette haine d'amour et de tout le reste. Videz moi comme un vulgaire animal, cuisinez moi. Tout, mais arrêtez moi cela. Je vous en prie. Personne ne peut en survivre. Finissez en et regardez moi m'émietter. N'ayez pas peur, je prendrais toute la douleur pour vous. Je ne veux vraiment plus rien sentir. Même la moindre larme. Plus rien. Je ne serais que souvenir. Oh, et quel horrible souvenir je serais.

Sur ce, bonne année. Oh, et voici le 100e article de ce blog. Quelle joie.

vendredi 1 janvier 2010


CAN YOU FEEL IT ? IT'S HOW MUCH IT WAS GORGEOUS AND HORRIBLE AT THE SAME TIME. STRANGE FEELING. BUT HERE WE ARE : IN 2010, THE BEGINNING OF A NEW STORY.