WHAT A NICE NIGHT.
Étrange. Très même. Comme si tout tournait pas rond. Tout devenait carré et les triangles fusent en losanges. Et les maths partent vers un monde meilleur. Mais, vous voyez, quand tout fuse comme sur Photofiltre, quand tout valse en l'air et s'effondre brusquement, que peut-on faire ? Et bien, rien. Se laisser aller et voir. Mais parfois cela ne suffit pas. Alors maintenant : on serre les muscles, on tire le vent, on le jette à terre et lui explique les conditions. Il le faut. Parce que très bientôt, tout repart. Ou plutôt : tout part. Et à ce moment-là, on ne m'attendra plus. On ne m'a même pas attendu. Avaant, j'arrivais à courir un minimum, mais là, c'est mort. Je souffre, mes boyaux hurlent le feu et mes joues explosent de rouge. C'est fichu. Comme d'hab' on va dire. Mais alors pourquoi cette question revient ? Pourquoi je me dis : "Et si je continuais un peu à forcer et pousser la cadence en ma faveur ? Si tout était enfin possible ?". Je m'y perds un peu. On verra. NON, on a plus le temps de voir. Alors STOP. Le gros panneau rouge s'affiche en gros zoom dans mon esprit. Et cette fois, j'ai pris mes précautions et tout partira. Et sinon, on fera ce qu'il faut faire pour. Comme avant. "Oui, on peut".
PS : Je la masserai à jamais si je pouvais, je la purgerai de tous ces problèmes, je la viderai et lui purifierai. Elle en deviendra toute parfaite intérieurement, en plus de l'extérieur. Elle est volante, me soulève pour toujours.